Roues et corps en fusion

Esquif (à fleur d’eau) aborde avec douceur et poésie les parcours de ceux qui traversent la mer pour fuir leur pays. Un récit imaginaire inspiré de témoignages bien réels, où la mer devient témoin des espoirs, des peurs et des rêves de l’exil.

Le metteur en scène nous emmène au cœur de la nuit du 4 août 1789, un moment clé de l’Histoire où les privilèges de l’Ancien Régime ont été abolis.

Trois ans après Hôtel Bellevue, le Théâtre du Parc se réjouit de retrouver la compagnie Arcosm avec un spectacle dans la même lignée, explorant cette fois la place de la lenteur dans notre société.

Les mots d’Etty Hillesum nous rappellent l’importance de la vie et de la résistance intérieure. Ce spectacle lumineux donne à entendre une réflexion sur l’existence et l’espoir.

La compagnie Soulmagnet, déjà accueillie au Théâtre du Parc avec Humus, revient avec Thétys, une création entre danse et imaginaire mythologique.

Une soirée placée sous le signe de la création contemporaine, où deux univers se rencontrent. Deux solos, deux écritures, un même plateau partagé.

Après avoir été applaudie longuement avec le spectacle Voyage au bout de l'ennui, la compagnie Lamento retrouve le Théâtre du Parc avec Gagnés par la Nuit, une nouvelle création dans laquelle elle explore le couple amoureux à travers la danse.

Vive livre le combat d’une jeune femme qui ose briser le silence autour de l’inceste. Une pièce poignante, qui met en scène le parcours d’une combattante pour se reconstruire.

Quatre saisons après La Mémoire de l’eau, un spectacle qui avait marqué les esprits au centre nautique le Nautiform, le Théâtre du Parc retrouve avec plaisir la compagnie Pernette pour une nouvelle création entre danse et spiritualité.